
Stage 2019
L’OGC Nice Handball a effectué son stage d’altitude en pension complète à l’auberge du « Rabuons » dans le village de Saint Etienne de Tinée (A.M.) du 22 au 26 juillet 2019. Ce fut l’occasion de continuer à peaufiner la préparation physique de nos treize professionnelles ainsi que de nos huit filles du Centre de Formation, montées dans le cadre de notre projet de club sur l’intégration de nos jeunes joueuses, qui se sont retrouvées dès lundi après-midi en salle de conférence, pour un débriefing vidéo sur le projet de jeu 2019/2020 établi par Marjan KOLEV.
Tout au long de la semaine, les filles ont alterné deux entraînements quotidiens, en salle au collège Jean Franco ou en extérieur sur le terrain d’athlétisme mis à notre disposition par la municipalité de Sait Etienne de Tinée, sous la houlette de notre staff. Avec Yoan RAGO, lorsqu’il s’agissait de travail physique ou de musculation et de tactico-technique avec l’entraîneur Marjan KOLEV, épaulé pour l’occasion par la Directrice du Centre de Formation Carine BERTRAND, venue encadrer ses filles en devenir.
Chaque soir de retour à l’auberge, notre Kinésithérapeute Mikaël DAHAN, veillait à la récupération des filles par la cryothérapie et en leur octroyant des séances individualisées de massages ou de soins.
En milieu de semaine, le mercredi soir, une petite soirée festive a été organisée sur le parvis du RABUONS, en présence de Madame Le Maire de Saint Etienne de Tinée, Colette FABRON, ainsi que nos dirigeants montés de Nice pour l’occasion, pour une soirée barbecue très sympathique.
Le bilan de notre stage d’altitude (1160m) a été, à mon sens, très positif, malgré la blessure au genou de Djeneba TANDJAN, qui est redescendue à Nice, dans la soirée du jeudi pour des examens complémentaires avec le docteur William FORET, venu nous rejoindre pour une journée de bilan médical. Pour être complet, je dois ajouter la légère blessure à l’arcade sourcilière de Lou LEBECHENEC le dernier jour avant de redescendre à Nice, le vendredi 26 juillet en fin de matinée avec nos trois minibus.
Claude Mirtillo
